La reconnaissance efficace des employés est un outil puissant qui peut avoir un impact transformateur sur votre organisation. En mettant en œuvre les exemples pratiques de pratiques de reconnaissance significatives décrits dans cet article, vous pouvez créer un environnement de travail dans lequel vos employés se sentent valorisés, motivés et habilités à contribuer au succès de l'organisation.
Comment développer une culture de la reconnaissance au travail?
Lorsque les employés ont le sentiment que leurs efforts sont reconnus et récompensés, cela crée une boucle de rétroaction positive. Ils sont motivés à continuer de donner le meilleur d'eux-mêmes, ce qui conduit à une plus grande réussite individuelle et collective. À l'inverse, un manque de reconnaissance peut conduire au désengagement, à l'épuisement professionnel et à un taux de roulement élevé du personnel, des résultats qu'aucune organisation ne souhaite. C'est pourquoi cultiver une culture de reconnaissance devrait être une priorité absolue pour tout dirigeant avant-gardiste.
Optimisez votre temps, maximisez votre succès !
Optimisez votre temps, maximisez votre succès !
Le temps est l'une des ressources les plus précieuses que nous possédons.
La manière dont vous gérez votre temps peut faire la différence entre le succès et la stagnation. Dans un monde en constante évolution, il est crucial de maximiser chaque moment pour atteindre nos objectifs et réaliser nos rêves.
Dans cet article, nous explorerons quelques stratégies efficaces pour optimiser votre temps et ainsi augmenter vos chances de réussite.
M.E.R.C.I, 5 lettres qui changent votre vie et celle de vos proches!
Selon le professeur en psychologie Robert Emmons, de l’université de Californie, aux États-Unis, la reconnaissance, la gratitude, le vrai MERCI contribue concrètement à l’amélioration de notre vie!
Comment créer un espace de travail inspirant, attractif et productif ?
Un environnement de travail sain est indispensable au bien-être des collaborateurs.
En effet, vous avez pu le constater dès les premières minutes lorsque vous passez un entretien d’embauche dans les locaux de l’entreprise, vous observez si le cadre de travail est inspirant, sécurisant et agréable.
Vos attentes sont souvent importantes car vous y passez la plus grande partie de votre journées.
Par ailleurs, des constats au niveau de l'ergonomie ont aussi été fait, amenant des questionnement sur notre posture : trop souvent assis, pas assez debout et une invitation à bouger davantage.
Comment l’impuissance apprise freine-t-elle le développement des entreprises ?
Avez-vous déjà entendu parler de cette théorie?
Vous avez peut-être vous aussi été victime de ce type de comportement et peut-être même que cela vous a freiné, voire empêché de réaliser vos rêves ou d’occuper l’emploi souhaité!
Explication en quelques lignes :
Lorsque vous répétez à une personne que ce n’est pas normal qu’elle n’y arrive pas, alors que ses collègues y arrivent « facilement » ou qu’après plusieurs essais, il y a toujours des erreurs voir pas assez de productivité, le doute s’installe et peut se transformer en certitude!
Lorsque vous étiez plus jeune, si vos professeurs ou votre entourage vous ont dit et répété « Tu n’es pas fait pour les mathématique , tu n’es pas fait pour le sport ou tu n’es pas bon pour l’apprentissage langues, etc. », il y a de grandes chances pour que cela soit le cas aujourd’hui!
Ces personnes n’avaient aucun don de voyance, mais tout simplement qu’à force de répéter quelque chose à une personne, son cerveau l’imprime au point d’y croire dur comme fer et donc de ne même plus vouloir essayer.
Cette théorie a été développée dans les années 60 par Martin Seligman (psychologue comportemental).
L’impuissance apprise, appelée aussi impuissance acquise ou résignation acquise est un sentiment d'impuissance permanente et générale qui résulte d’expériences vécues.
Ce sentiment est provoqué par le fait d'être plongé, de façon durable ou répétée, dans des situations dans lesquelles l'individu échoue, ne peut agir et auxquelles il ne peut échapper.
Devenir résigné en moins de 5 minutes!
Malheureusement, nous retrouvons ce type de comportement fréquemment dans l’enseignement (regarder cette vidéo qui démontre comment certains élèves d’une classe vont se résigner en moins de 5 minutes à abandonner). Expérience réalisée par la psychologue, Charisse Nixon.
C’est aussi vrai en entreprise!
Si vous complimentez régulièrement vos collaborateurs(trices) sur leurs engagements, leurs résultats, leurs essais et erreurs qui vont avec (oui, les erreurs aussi !), car un employé qui souhaite améliorer les pratiques internes ou vos produits va surement passer par l’étape « erreur » et c’est normal!
Si par contre vous ne souhaitez pas avoir d’erreur dans votre entreprise, vous allez devoir accepter d’entendre encore très longtemps, cette phrase qui nous énerve tant « Cela a toujours été fait ainsi!».
Comment changer cette situation et les conséquences qui en découlent en entreprise?
Premièrement, il est impossible de changer quoi que ce soit sans accorder 100% de confiance à vos collaborateurs et en acceptant leurs erreurs!
Offrez à vos collaborateurs du temps pour qu’ils se forment
Accompagner vos gestionnaires à devenir de bons leaders humanistes et attentionnés
Inciter la valorisation et l’encouragement en interne
Laissez la place à la créativité et l’innovation
Améliorer la communication interne
Supprimer les barrières psychologiques internes de votre entreprise
Développer une culture d’entreprise forte et vivante
Avez-vous déjà entendu cette expression?
« Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait! » Mark Twain
Et bien c’est ce qui est arrivé au coureur Roger Gilbert Bannister, qui fut le premier athlète à courir le mille mètre (1 609,34 m) en moins de quatre minutes le 6 mai 1954 et alors que la science était convaincue que le corps humain ne pouvait jamais passer sous la barre de quatre minutes. À ce moment, on déclarait que c'était scientifiquement impossible! cela n’était « scientifiquement » pas possible!
Dès que ce record fût connu et reconnu à l'échelle mondiale, plus de 300 coureurs allaient eux aussi passer sous la barre de quatre minutes dans les 6 mois qui suivaient!
La barrière psychologique venait de tomber et tout devenait alors possible!
Le détenteur du record actuel avec un chrono à 3 min 43 s 13 est Hicham El Guerrouj (marocain).
Dans votre entreprise, quelles sont les croyances internes limitantes?
Abordez ce type de sujet dans votre entreprise lors d’atelier de créativité.
Libérez le plein potentiel de vos collaborateurs, inspirez-vous des pratiques des entreprises autoorganisées, plus connues sous le nom d’entreprises libérées.
Devenez vous aussi une organisation inspirante !
Vous aimeriez en savoir plus, consultez notre site ou contactez-nous.
Philippe Zinser, Happy-Culteur RH
#impuissanceapprise #effetBannister #impuissanceacquise #résignationacquise #Bannister #barrièrepsychologique #valorisation #encouragement #reconnaissance #happyculteurRH #bonheurAutravail
Le babyfoot, la cafétéria…?
Quand on fait référence à des employés heureux et à un environnement de travail agréable, c’est en général l’image des salles de pause où des co-équipiers éparpillés entre jeux vidéo, babyfoot et bar à café au nom décalé (ou corpo), qui nous vient à l’esprit.
N’empêche, après la partie de PlayStation, le café et le tournoi de babyfoot, il restera toujours des objectifs à atteindre, des heures de travail à réaliser, des rencontres à faire, des livraisons à assurer, bref, il restera du boulot! Alors, pour donner l’envie à son équipe de rentrer dans l’organisation, mais aussi d’y rester et de s’y investir, il faut passer à une réflexion un peu plus poussée.
Le bonheur en entreprise : y’a-t-il un lien avec « le babyfoot » ?
Bonne nouvelle pour les boss dont les moyens sont limités : la réponse est définitivement non! Certes des espaces communs où les employés peuvent échanger, nouer des liens et se reposer sont bénéfiques. Cependant, il existe différents profils et les aspirations de chacun, pour un moment de repos, sont tout aussi différentes. En somme, un espace d’échange pour les équipes doit répondre aux attentes de chacun et n’a donc pas un aménagement type et « évident ». Mais quand on se soucis du bonheur de son équipe dans l’entreprise c’est surtout aux conditions d’emploi et à l’organisation du travail qu’il faut penser en premier! Comme on l’a déjà mentionné, en bout de ligne, il y a toujours un travail à réaliser alors comment rendre l’expérience agréable?
Éviter les facteurs de stress…
Revenons aux salles de pause décrites plus haut : à première vue elles auraient tout pour plaire et pour faire le bonheur des co-équipiers. Pourtant, ce genre de démarche simplifie la réalité en passant à côté de la raison même de l’organisation : réaliser un travail. Bien qu’intéressantes, ce genre d’initiatives doit compléter une démarche d’intervention qui vise à prévenir les risques et offrir un climat de travail agréable. Sans autres engagements auprès des équipes, cela reviendrait à éviter de comprendre leurs attentes et aspirations et à ne pas se soucier de leur expérience de travail.
Étant donné la divergence de profils et la richesse des parcours en entreprise, le premier réflexe serait alors de comprendre ce que vivent vos co-équipiers. Les sources de stress et de tension sont multiples et seule la personne qui occupe un poste sait ce qu’elle vit réellement au quotidien. À ce propos les principaux facteurs de risque identifiés par l’INSPQ (l’institut nationale de la santé publique Québec) sont :
La charge de travail
L’autonomie décisionnelle
La reconnaissance
Le soutien social du supérieur hiérarchique et des collègues
La reconnaissance
Le harcèlement psychologique
(INSPQ, 2018)
L’identification de ces risques appelés « risques psychosociaux », exige l’initiation d’une démarche qui repose essentiellement sur la volonté de la direction et l’adhésion de tous les acteurs de l’entreprise.
… Pour repenser le bonheur en entreprise
Tout comme les facteurs de stress liés à l’organisation du travail et aux conditions d’emploi, le bonheur doit aussi passer par une réflexion englobant en premier les éléments mentionnés plus haut. Autant la décoration du bureau et l’environnement physique du travail peuvent contribuer au cheminement vers le bien-être en entreprise (Ne jetez pas le babyfoot tout de suite!), ces initiatives doivent faire partie d’une réflexion plus poussée. Ce n’est donc pas par hasard que Pierre Côté, directeur de recherche de Leger, identifie ces six facteurs pour influencer le bonheur en entreprise :
La réalisation de soi
Les relations de travail (entre collègues et avec le supérieur)
La reconnaissance
Les responsabilités confiées
La rémunération
Le sentiment d’appartenance
Cela ne vous rappelle rien? C’est en effet des axes qui se croisent pour passer de « zones de risque » aux facteurs de bien-être dans votre entreprise! Ceci dit, il n’existe pas de « recette miracle » et un tel passage exige de la formation, un accompagnement et un engagement. Sans préjugés sur ce qui est supposé stresser ou faire le bonheur de vos équipes, il est essentiel de mobiliser tous les collaborateurs dans une telle démarche.
Que retenir?
Autant la prévention des risques psychosociaux qu’une réflexion quant au le bien-être en entreprise exigent une démarche minutieuse. Une démarche qui repose sur la mobilisation, la participation de tous les acteurs et un accompagnement d’experts. Il s’agit de repenser l’organisation du travail et les conditions d’emploi. Un changement qui devra répondre aux aspirations des équipes et à la réalité de l’organisation.
Refaire la décoration de l’environnement de travail, c’est une bonne idée! mais…. D’autres efforts doivent-être consentis et touchent, en premier, au vécu quotidien des équipes dans la réalisation de leur travail.
Dans l’immédiat…
Si vous n’êtes pas prêt à commencer une telle démarche dans l’immédiat vous pouvez toujours rencontrer votre équipe. Grâce aux discussions et à des outils de mesure (disponibles sur les sites de centres spécialisés tels que l’INSPQ et l’INRS France) vous en saurez plus sur la situation. Un premier pas qui vous indiquera vers quoi orienter vos efforts au quotidien pour éviter les zones de risque et avancer vers le bien-être!
Salima Kamoun, Ph.D candidate
Happy-cultrice RH
Vous aimeriez en savoir plus, consultez notre site ou contactez-nous.
Libérée, délivrée : c’est décidé je vais transformer mon entreprise!
« Ça y est, je m’assume comme dirigeant, je fais comme je le sens, j’arrête d’être malheureux dans un rôle qui ne me ressemble pas! Oui, j’ai les meilleurs collaborateurs et je vais leur prouver! »
Avez-vous un jour pensé comme cela? Avez-vous déjà eu envie de gérer votre organisation comme bon vous semble et non comme tout le monde fait?
Tout va bien… Jusqu’à l’arrivée au bureau, où la pression des chiffres, des commérages et autres discussions de couloirs et de l’image, vous ont empêché d’oser prendre la décision. Puis, c’est la routine qui a continué son chemin.
Prendre une décision collectivement
Et si vous preniez cette décision avec toute l’entreprise? Et si au lieu que de porter ce choix tout seul (comme d’habitude!) vous proposiez à l’ensemble des collaborateurs(trices) de faire le choix collectivement?
Concrètement, vous avez tout à gagner à en faire une décision commune. Entre la possibilité constructive d’être redevable à votre équipe – et d’ainsi devoir rendre autant de comptes qu’eux-mêmes face aux changements et améliorations posées – vous venez chercher la richesse de la collectivité et les dizaines de bonnes idées et d’intérêts variés de vos collègues motivés.
Imaginez, vous rassemblez tous vos collaborateurs pour leur présenter via une conférence le concept, vous leur laissez une semaine de réflexion, pour finir par les réunir à nouveau le temps de répondre à leurs interrogations. Un processus inclusif pour rassembler les bons plans de tout le monde!
Pourquoi libérer votre entreprise?
Pour la rendre plus agréable, plus humaine, plus flexible, plus innovante et par conséquent plus engageante pour votre équipe et donc plus profitable! Ne perdons pas de vue qu’une entreprise doit être rentable si elle veut perdurer.
Une entreprise qui réussit n’est plus uniquement une entreprise ou le chiffre d’affaires est en croissance à deux chiffres. Mais bien une organisation qui prend soin de ses collaborateurs, qui prend soin de son environnement social et sociétal.
Au final, ce que retiendra la Société de votre entreprise ce n’est pas votre CA, votre % d’augmentation annuelle, ou les profits réalisés, mais bien ce que l’organisation aura contribué humainement.
Restaurer la confiance, c’est la transparence d’offrir la possibilité à chacun de grandir avec et dans l’entreprise. Et ça n’a pas de prix! Chacun devient un acteur de la réussite de l’entreprise et par conséquent vous développez aussi le bonheur de vos clients.
Alors, vous aussi “Let It Go!”
Développement PME (DPME), en route vers une organisation libérée !
Performance et bien-être au travail, quel est le secret de réussite de DPME ?
Nous cherchons tous le bonheur. Et puisque, nous passons une grande partie de notre temps au travail, pourquoi ne pas être plus heureux au travail ?
Chez DPME, les décisions sont, désormais, prises en petits groupes et cela fonctionne !
L’entreprise est en croissance et les collaborateurs se disent plus heureux. Cette absence de hiérarchie favorise leur autonomie et leur responsabilisation, mais aussi, leur implication dans les missions de l’entreprise. Ils ont fait le choix d’un mode de gestion appelé « Entreprise libérée » ou « Travail auto-organisé » où chacun devient acteur.
Qui est DPME ?
Développement PME (DPME) est une organisation sans but lucratif qui contribue à l’essor économique de la région de la Chaudière-Appalaches. Leur mandat est d’offrir des services personnalisés, à un coût accessible, afin de sensibiliser et d’accompagner les entreprises manufacturières dans l’implantation de meilleures pratiques d’affaires.
Plaisir et travail vont-ils de paire ?
Selon l’étude GALLUP au niveau mondial, le pourcentage de salariés engagés, c'est-à-dire se levant le matin heureux d’aller travailler, est de 11%. Les salariés désengagés c’est-à-dire venant chercher leur salaire sans prendre d’initiatives, représentent 61%. Enfin, les désengagés, sont tellement malheureux qu’ils viennent au travail chaque jour pour démontrer leur malheur et saboter le travail ou le moral des autres.
Il faut garder à l’esprit que la première raison qui nous pousse à travailler est celle de gagner de l’argent pour répondre à nos besoins primaires, mais aussi pour créer du lien social.
Le plaisir au travail reste encore secondaire dans de nombreuses cultures et le Québec n’y fait pas exception. Pourtant, il est prouvé qu’un salarié heureux est 33% plus productif et 55% plus créatif. La performance et le plaisir s’autoalimentent. A contrario, la productivité d’un salarié malheureux serait 10 % inférieure à la moyenne. Et on sait, aujourd’hui, que moins d’un salarié sur deux admet se sentir bien dans son travail.
Comment sortir de ce cercle vicieux ? Existe-t-il une recette magique qui permettrait d’instaurer un cercle vertueux entre performance et plaisir?
Selon une enquête réalisée par Deloitte en 2016 au Canada, 77% des répondants de tous les niveaux estiment que la capacité de leur organisation à offrir des programmes de leadership adapté à la génération Y est faible.
L’importance de l’environnement de travail
Le premier réflexe est de considérer que pour rendre les salariés plus heureux, il convient d’augmenter leur salaire. C’est bien connu, même s’il y contribue, l’argent ne fait pas le bonheur. Une augmentation de salaire ne suffit pas à rendre heureux, ni à fidéliser un collaborateur. L’effet est limité dans le temps et n’a d’effet qu’à court terme.
Des entreprises choisissent plutôt d’améliorer l’environnement de travail. Si les cafétérias, baby-foot, tables de ping-pong ou salles de sport sont certes appréciés, encore faut-il que cela soit le souhait des collaborateurs et non celui d’une direction ou d’un service RH, juste pour être dans la tendance. D’autres entreprises tablent sur la nomination d’un Chief Happiness Officer (CHO) en charge de veiller au bonheur de chacun en entreprise.
Faire le choix d’un management humain
Comme le disait Gandhi, on ne peut pas changer le monde sans commencer par se changer soi-même. Mais cette remise en cause n’est pas si évidente puisqu’elle relève en grande partie de nos émotions et de notre égo qu’il faut savoir mettre de côté.
Bien sûr, instaurer le concept de l’entreprise libérée n’a pas été si simple à mettre en place chez DPME. Dans certains cas, des messages ont pu être difficiles à entendre et à accepter ! Nous sommes tous formatés depuis notre entrée dans le monde du travail à avoir un supérieur qui nous dit quoi faire et comment le faire. Il faut donc se déprogrammer, se questionner et redonner du sens à ce que l’on fait chaque jour! Mais la confiance, la persévérance et la bienveillance de Daniel Voyer et de Roselyne Guillemette est la clé du succès de la transformation actuelle de leur organisation. Ils ont fait le choix d’un management humain où les collaborateurs sont au cœur du développement de l’entreprise. Nous avons tous des responsabilités et des compétences différentes. L’accepter permet de souligner l’importance de la collaboration et l’intelligence collective, et d’en tirer tous les bénéfices, notamment pour mieux desservir nos « VRAIS PATRONS », nos clients.
Après seulement quelques mois, voici quelques commentaires partagés par les collaborateurs de DPME :
Ces témoignages vous ont-ils inspirés ?
Nous remercions l’équipe DPME pour la confiance qu’ils nous accordent et leur souhait de devenir une organisation inspirante.
Sabine Pouillion – Philippe Zinser, Les Happy-Culteurs RH